Lors de ce colloque, sa communication a porté sur la définition écologique du concept du « prochain » : une contribution à la sauvegarde de la création. De sa présentation, on peut retenir qu’il faut des «prérequis de la sauvegarde de la création» dont la mise en œuvre permettra de gérer «l'incontournable paradoxe de la nécessité absolue de "consommer" dans le processus du développement et celui de la nécessité tout autant impérieuse de "protéger" la vie. Toute la vie humaine, mieux, la vie tout court se tient et se soutient grâce à la gestion de ce paradoxe.»
Vous pouvez consulter l’article sur le site de la CEVAA (cliquez sur le lien) :
https://www.cevaa.org/actualites/theologie-et-ecologie-un-colloque-international-a-linstitut-oecumenique-de-bossey