Il était question de réfléchir sur un travail de recherche-action sur l’avenir du travail dans la transition écologique, au croisement des intuitions du travail décent et vert porté par l’OIT et de l’écologie intégrale promue par le pape François dans Laudato si’. Convaincus que la crise est aussi une opportunité de réinventer un travail plus digne et soutenable, ces organisations ont désiré considérer les réalités vécues et les solutions portées par les travailleurs du monde entier.
C’est pourquoi représentants d’associations, syndicats, ONGs, mouvements d’Église, cadres et entrepreneurs, universitaires se sont associés à cette réflexion. Conférences plénières et ateliers en petits groupes ont permis de discuter constats et propositions, à partir de l’expérience des partenaires : Secours catholique, Territoire Zéro Chômeurs, CCFD-Terre Solidaire, CFTC, Ressources humaines sans frontières, Ibero-American Union of Workers, Indian Social Institute, Mouvement des cadres chrétiens, et bien d’autres… Lieu de proposition et d’émulation, le colloque s’est achevé par la présentation d’un manifeste du travail souhaitable.
L’Université Protestante d’Afrique Centrale (UPAC) invitée à cet événement, au regard de ses actions sur le terrain et ses préoccupations sur les sujets qui animent ses réflexions en matière d’éducation relative à l’environnement. le Docteur NGIRINSHUTI Marcel, responsable de la Chaire d’Ecothéologie, représentant l'UPAC à ces renocntres, a eu des opportunités non seulement de partager ses expériences en Afrique mais aussi d'établir des liens de collaboration future, pour des partenariats durables entre l’UPAC et ces organisations.